Découvrez le témoignage de Martine Dumont qui gère la société Dumont Automatismes

Comment avez-vous connu Jimmy Béteau et le coaching d’affaires ?

Au travers du BNI

La première fois que vous avez entendu parler du coaching d’affaires, quelle représentation vous en êtes-vous faites ?

Comme si un professeur qui allait nous noter (« nous marquer à la culotte »)

Après avoir rencontré Jimmy Béteau pour la première fois, cette représentation a-t-elle changé ? Si oui, comment ?

Oui. Jimmy conseille, nous ouvre les yeux mais c’est à nous de travailler. Ça nous demande beaucoup de travail.

Quelles étaient vos réticences ou craintes lors de votre prise de décision concernant un programme de coaching pour vous ?

Pas de crainte particulière

Quels sont les éléments qui ont été mis en avant et qui vous ont convaincu de prendre un coach d’affaires ?

Le résultat promis : comment mieux gérer une affaire. Savoir ce que c’est vraiment un travail de patron. Nous canaliser parce qu’on part dans tous les sens.

Quelle était la problématique principale que vous souhaitiez résoudre grâce au coaching d’affaires lorsque vous avez commencé avec Jimmy Béteau ?

La discipline.  La question de ce qui est urgent ou important

De manière générale, quel a été, selon vous, le plus grand impact du coaching d’affaires sur l’entreprise ?

• Comment était la situation avant ? Fuite en avant

• Qu’avez-vous fait concrètement ? On a réflechi et mis en place des procédures

• Quel a été cet impact positif ? On sait où on va parce qu’on a défini où on voulait aller.

• Qu’avez-vous dû modifier dans votre façon d’être pour y arriver ? De la discipline

Quel est, selon vous, le profil type d’un dirigeant qui pourrait bénéficier du coaching d’affaires ? En connaissez-vous ?

Des dirigeants qui sont dans la fuite en avant. Se savent pas où ils veulent aller, sont débordés par des taches pas importantes.

« Le coaching donne un cadre«